La vérité derrière le “childfree” conquérant

De plus en plus de femmes revendiquent fièrement le fait de ne pas vouloir d’enfants. Le fameux phénomène des “childfree” (évidemment, il nous vient des USA). Elles ne se sentent pas prêtes, elles veulent privilégier leur carrière, leurs voyages, leurs sorties entre copines ou avec leur “mec”, elles vivent très bien comme ça ou bien elles ont peur pour la planète, etc., etc. Il paraît que ce n’est pas de l’égoïsme.

La vérité derrière cette posture conquérente est bien moins radieuse. Je vous partage ici le témoignage d’une femme qui se livre sur la plateforme LinkedIn (haut lieu du féminisme 2.0 qui libère soit-disant la femme par le travail, nous en reparlerons).

Saluons tout de même le courage de cette femme qui exprime ouvertement ses remords. Il y aurait beaucoup à dire sur ce témoignage qui reflète une réalité cruelle devenue courante aujourd’hui. La fausse liberté est comme cette lumière artificielle qui attire les papillons de nuit. On s’y brûle les ailes. À vouloir mener sa vie comme on l’entend, sans entraves, on va droit dans le mur. Plus le réveil est tardif, plus il est difficile, et plus les conséquences sont irrémédiables.

La médecine moderne fait croire aux femmes qu’elles ont raison de vouloir tout contrôler. Après tout, c’est leur corps, leur choix. On connaît la chanson. Résultat des courses ? “Du sang et beaucoup de désillusions”. Les apprentis sorciers en blouse blanche font du corps féminin leur terrain d’expérimentation. “La vitrification ovocytaire”, la belle affaire ! Un sacrilège devenu monnaie courante.

“Ce refus de maternité” est encore un tour de passe-passe de la société moderne qui fait croire aux femmes qu’elles s’épanouiront davantage si elles n’ont pas d’enfants. La maternité est devenue un fardeau. Un boulet au pied qu’il va falloir traîner toute sa vie. Les enfants, voilà le problème. Au point que certaines offres commerciales vantent les avantages du “no kids” (encore une belle idée américaine) : vous pouvez désormais aller au restaurant sans risquer d’entendre les pleurs d’un bébé, vous êtes sauvé.

Ne jetons pas la pierre à cette femme, mais prions pour que Dieu lui accorde la grâce de continuer à ouvrir les yeux et de retirer tout à fait les oeillères du féminisme qui détruit les femmes.

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Un accouchement physiologique et catholique ?